"Rien n'est plus beau que Paris, sinon le souvenir de Paris. Et rien n'est plus beau que Pékin, sinon le souvenir de Pékin. Et moi, à Paris, je me souviens de Pékin et je compte mes trésors".
Si le charme de Pékin s'est estompé depuis lors, l'endroit en 1955 n'en manquait pas.
Enfants dans les parcs, jouant, criant, chantant. Mouvements amples et maîtrisés des gymnastes. Explosion de couleurs. Tout se meut dans une parfaite harmonie.
L'ancien Pékin (mongol) côtoie le révolutionnaire et celui de demain pour donner à la ville son cachet si particulier.
Comme toujours chez Marker, la beauté du langage, des commentaires et du montage émerveillent.