7
La violence engendre la violence
Merci. De quoi ? De ce que tu as fait pour moi. Je ne l'ai pas fait pour toi. Merci quand même. Arrête de me remercier. Qui sait si j'ai bien fait. Je te remercie parce que,...
le 24 juil. 2020
61 j'aime
35
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
LE CHAINON MANQUANT
Corbucci aime John Ford mais se sens proche de Leone, je ne lui en veut pas. Django est le symbole de ce changement d'état d'esprit et même s'il copie le réalisateur de la trilogie des dollars, il s'approprie le genre et fabrique, à l'arrache, un western bien dégueulasse.
Le froid remplace la chaleur, la terre desséché laisse place à la boue et au lieu d'un gringo sans nom et à cheval on a un mec qui a déconné avec l'autobronzant, dont on connait bien le nom 'DJANGO' et qui marche en trainant un cercueil.
c'est plein de défauts, il y des séquences très inspirées et d'autres filmées avec les pieds mais le plaisir est là, on se rend bien compte qu'il y une énergie qu'on ne retrouve pas dans tous les western.
c'est kitsch, c'est sale, c'est violent et ça me plait, donc je vais me taper 'el mercenario'!
Le froid remplace la chaleur, la terre desséché laisse place à la boue et au lieu d'un gringo sans nom et à cheval on a un mec qui a déconné avec l'autobronzant, dont on connait bien le nom 'DJANGO' et qui marche en trainant un cercueil.
c'est plein de défauts, il y des séquences très inspirées et d'autres filmées avec les pieds mais le plaisir est là, on se rend bien compte qu'il y une énergie qu'on ne retrouve pas dans tous les western.
c'est kitsch, c'est sale, c'est violent et ça me plait, donc je vais me taper 'el mercenario'!
D'autres avis sur Django
5
Django Renard contre Jamie Foxx
Lacune vieille de plusieurs décennies, je m’étais juré de voir ce "Django" version Corbucci, après m’être délecté de l’essai Tarantinesque quasi-éponyme. Si Nero arrive à incarner ce personnage...
Par
le 30 déc. 2013
49 j'aime
14
4
De la petite bière...
Adulé ici comme ailleurs à un niveau parfaitement incompréhensible, Django se révèle en tout cas parfaitement caractéristique du western spaghetti, les films de Leone s'apparentant de plus en plus...
Par
le 31 janv. 2012
49 j'aime
16
Du même critique
8
Critique de Soy Cuba par haddock
oui, les russes étaient à la pointe de la technique cinématographique et faisaient voler une caméra entre deux immeubles, dans une cage d'escalier ou dans un champs en feu. quelle narration, quel...
Par
le 2 oct. 2010
12 j'aime
9
les nerfs à vif
Je comprends qu'on adhère pas, qu'on comprenne pas, qu'on aime pas et qu'on crache dessus. moi je me suis pris une claque. Bruno Dumont nous emmène la ou on a pas envie... j'ai mis une semaine à m'en...
Par
le 25 mars 2011
8 j'aime
10
Critique de M le maudit par haddock
ce film est une leçon de cinéma à lui tout seul. Lang ne fait pas que réussir le passage au parlant, il réalise un chef d'oeuvre de modernité et de mise en scène. ce film est un bijoux du septième...
Par
le 30 sept. 2010
6 j'aime
