Ce que j’ai compris :
le Dobermann est le braqueur le plus recherché de Paris, lui et sa bande aiment autant l’argent que le chaos qu’ils créent pour l’obtenir. Malheureusement pour eux, l’inspecteur Cristini s’est mis en tête de les arrêter par n’importe quel moyen.
Ce que j’en pense :
dans Dobermann, Jan Kounen crée une ambiance speed et saturé qui colle parfaitement avec l’ambiance du film. On y retrouve un montage épileptique marque de fabrique du bonhomme et une BO bien vénére pour sublimer le tout. Les personnages sont tous haut en couleur et charismatique.
Du côté des braqueurs :
- Le Dob campé par un Vincent Cassel en grande forme.
- La meuf du Dob joué par une Monica Belucci exclusivement … belle.
- Le nerveux avec un Romain Duris bien dégueulasse (sans doute le seul
film où il apparaît comme ça).
- La brute pour casser des bouches.
- Le curé pour balancer la petite punchline christique qui va bien.
Du côté des flics :
- Le commissaire Sauveur Cristini, dit la hyène. Le keuf bien pourri
prêt à tout pour arrêter le Dobermann et son gang.
L’histoire est simple mais suffit à mettre en scène des situations mémorables. Les dialogues sont tout aussi surprenants et incisifs que l’image que retranscrivent les différents protagonistes. Clairement j’adore ce film. Kounen est un des rares réalisateurs français à prendre des risques avec Dany Boon peut être...
Ce que j’en retiens :
L’abbé : Le seigneur l’a châtié, il a rejoint le paradis des Hommes
sans tête !
Le gitan : Enfin il veut dire qu’on lui a grenadé la gueule !
Sonia : Tu voulais que je devienne un avocat ? Ben c’est à moitié
réussi je suis déjà un enculé