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Arnold dans la peau.
Arnold Schwarzenegger (et Sylvester Stallone) est comme une équipe de foot sur le déclin ; on reste supporter jusqu'au bout. Et ce bien malgré ce film qui frise quand même le nanar à 85 millions de $ (!), et dont le thème reste la vengeance personnelle, celle d'un homme qui a vu sa famille décimée dans un attentat et qui va résoudre à lui tout seul le conflit colombien.
D'une certaine façon, on peut assimiler le film au genre du vigilante, car Arnold va être motivé par l'idée de la vengeance, quitte à zigouiller quelques Colombiens au passage. On trouve vite fait une apparition de John Turturro (qui a du être plus payé dans ce rôle que chez les frères Coen !), et de John Leguizamo, car tout film comprenant des Hispaniques comprend John Leguizamo.
Après, le film ne renouvelle en rien ce dont Arnold est capable, à part que cette fois-ci, il ne se sert jamais d'une arme à feu, et excepté le twist final sur le vrai méchant, ça reste convenu, et je dirais même vieillot par rapport au genre.
Mais bon, je suis fan d'Arnold (plutôt sage en punchline ici), et ça me fait rigoler de le voir résoudre à lui tout seul un conflit national.
D'une certaine façon, on peut assimiler le film au genre du vigilante, car Arnold va être motivé par l'idée de la vengeance, quitte à zigouiller quelques Colombiens au passage. On trouve vite fait une apparition de John Turturro (qui a du être plus payé dans ce rôle que chez les frères Coen !), et de John Leguizamo, car tout film comprenant des Hispaniques comprend John Leguizamo.
Après, le film ne renouvelle en rien ce dont Arnold est capable, à part que cette fois-ci, il ne se sert jamais d'une arme à feu, et excepté le twist final sur le vrai méchant, ça reste convenu, et je dirais même vieillot par rapport au genre.
Mais bon, je suis fan d'Arnold (plutôt sage en punchline ici), et ça me fait rigoler de le voir résoudre à lui tout seul un conflit national.
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le 29 août 2014
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