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S’inspirant d’un véritable cas de dédoublement de personnalité, la réalisatrice Agnès Merlet pose sa caméra sur une petite île du nord de l'Irlande. Elle capte, via une mise en scène clinique, les limites du rationnel et les confins du surnaturel, évoquant au passage la fascinante étrangeté et le climat oppressant d’un The Wicker Man. La jeune Jenn Murray s’avère captivante dans le rôle complexe et déchaîné de Dorothy, contrebalance parfaite de la prestation intériorisée de la toujours impeccable Carice van Houten. (Shadowz)
Le physique a part de Jean Murray (dont c'était le premier rôle au cinéma), les herbes de l'Irlande, mais aussi le fait que l'intrigue du film se passe au sein d'une communauté religieuse complètement recluse sont autant d'éléments qui contribuent au caractère effrayant du film.
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Créée
le 9 nov. 2014
Modifiée
le 15 juil. 2024
Critique lue 1.2K fois
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