Basé sur le roman, réalisé par Gibson en numérique sphérique technicolor avec un budget minuscule, c'est un échec dédié vidéo. Les rites sataniques de Dracula commence par un rituel diabolique dans une demeure étrange, qui lance l'intrigue avec de l'action. La fuite d'un personnage énigmatique engage des détails infernaux qui démarrent une mystérieuse affaire avec une belle réalisation.
Le récit alterne l'enquête en poursuivant les éléments du terrible rituel, qui sont liés à des personnages importants du royaume. Les événements recollent à la série en s’enfonçant dans une dimension de sorcellerie, qui fait avancer l'investigation sur l'abominable culte satanique. L'affaire se développe d'une manière classique en continuant sa combinaison qui laisse la créature apparaître.
L'histoire conserve les 2 directions avec une vision académique, qui déroule lentement les indices pour réunir les personnages à l'affaire dans un affrontement terrifiant. Le sujet répétitif s’éternise sur la longue investigation, qui emprunte le chemin d'une confrontation surnaturelle aux effets de téléfilm bas de gamme. La fuite en avant se referme dans la violence d'une lutte incroyable, lors d'un dénouement médiocre, pour cette œuvre qui tire son mythe dans des mécanismes classiques, en traînant en longueur de façon prévisible.
Entrées Salles Uk : env. 460.000.
> https://youtu.be/I-VobRxBjhM