Le roi Cornu cherche à amasser les sept boules de cristal. Son Goku abouche Sitoé, ensemble, ils tenteront d’assembler celles-ci avant ce dernier.
Il y a au moins deux excellentes raisons par minute de qualifier ce métrage d’étron gargantuesque comme les câbles sempiternellement apparents dès que le héros vole, l’antagoniste qui est un ersatz cauchemardesque de Bill du Bigdil, des dialogues ineptes à l’instar de mon titre, la traduction des noms en français ou encore l’aberrant crocodile. L’œuvre est plutôt fidèle aux premiers épisodes de l’anime sauf qu’elle convoque inexplicablement des extraterrestres. Cela pousse à relativiser l’échec artistique de Dragon Ball : Evolution, les Taïwanais et les Philippins avaient effectué bien pire plus tôt. Je lui décernerais volontiers la distinction de métrage le plus épouvantable que j’ai pu visionner. Affligeant, voire consternant. Néanmoins, il y a une espèce de plaisir à regarder jusqu’où s’étendra le désastre.