7
Le cas Méha Méha
Fin des années 80. Une époque bénie pour toute une génération d'enfants. Le mercredi après-midi de la première chaîne nous est totalement consacré. Et le samedi matin aussi. Les vieux faisaient la...
le 25 mars 2019
20 j'aime
6
Divertissant mais pas super prenant
Ce film reprends le chapitre du manga Jaco the Galactic Patrolman : Dragon Ball Minus (préquelle à Dragon Ball, édulcoré et copié sur Superman) au lieu du téléfilm Le Père de Goku (plus sombre). Vraiment dommage que dans cet ère de politiquement correct et ici surtout pour cibler les jeunes, on perds ce qui faisait des vrais saiyans : cruauté, peu de sentiments. Bardock se fiche de son fils et ne devine pas que Frieza s'apprête à commettre un génocide. C'est d'ailleurs une mort vite expédiée.
Mauvaise idée de canoniser encore (comme Battle of Gods) par une simple phrase le petit frère de Végéta : Tarble de l'OVA assez limite de Dragon Ball : Salut ! Son Goku et ses amis sont de retour !! Perso, ça reste une blague au niveau de la femme de Tarble et de son apparence juvénile.
Il y des plans/idées du film Broly le Super Saiyan Légendaire et du film Fusions. Le Broly de 2018 est sympathique mais :
Le fait qu'il reste en vie est aussi un moyen de l'utiliser pour rester avec un univers de Dragon Ball "étendu" afin de garder la licence le plus longtemps possible. Un ressenti qui traduit un mauvais feeling envers la Toei, suffit de voir la catastrophe sur Saint Seiya...
bon c'est le but au final... Enfin bon, on évite le Broly sans cerveau des fans (lui qui dans le 1er film fait conscience de logique). Le gros reproche pour le combat est un défilé de transformations (normal, SSJ, Red et Blue, comme le fanmanga DBM) sans aucune considération du moment (Goku qui passe après un Vegeta Red en normal, non mais sérieux ?). Il gueule la plupart du temps, certains apprécieront ces hurlements d'autres non mais au cinéma c'était génial, excepté le Go Broly Go. Concernant Gogeta, celui du film Fusions profite d'un temps plus court pour être un badass inoubliable. Dans Super, on dirait un Vegeto à l'exception qu'il est plus offensif et brutal. Bref, je préfère de peu, les 2 "vieux" films.
Le problème est l'enjeu. Broly ne se bat que parce que son père qui en veut se venger du roi Vegeta lui demande d'attaquer son fils. Le pauvre Paragus
meurt pour que Broly se transforme en Super Saiyan (ok, l'idée est bonne). Aucune émotion, c'est aussi rapide que bâclé. Qui aurait tué Paragus à part Frieza qui était à côté ?
Finalement, Toriyama en profite pour retcon en ajoutant et canonisant sa préquelle de Dragon Ball. Ce n'est pas super mais reste un minimum bien. Nous avons 50 minutes d'histoire (dont la moitié en préquelle) et 40 minutes de baston continues.
Un film qui réussit néanmoins au niveau combat et divertissement malgré des défauts liés à DBSuper (non-respect des niveaux de puissance, aucun sang, incohérence de Frieza qui lutte 1 heure contre Broly...etc). L'ancien DBZ (série et films) restent de peu au-dessus (histoire et l'ensemble), ce nouveau Broly reste cependant dans les 5 meilleurs de Dragon Ball selon moi.
8
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mes meilleurs films/oav/specials de tout Dragon Ball
Créée
le 17 mars 2019
Critique lue 220 fois
D'autres avis sur Dragon Ball Super : Broly
1
Je cherche toujours le cinéma
Je ne comprends pas ce film ni son intérêt. On reprend un personnage apprécié d'un ancien OAV, je crois que c'est le seul OAV que j'ai avec peut-être celui sur Cooler, je ne suis plus sûr (et les...
Par
le 26 févr. 2019
20 j'aime
15
5
Éclate-Roc
Après la venue de Beerus et le retour de Freezer, qui faisaient office d'introduction à Dragon Ball Super, c'est autour de Broly d'être le sujet d'un film, se déroulant après le tournoi de l'Univers,...
le 13 févr. 2020
16 j'aime
7
Du même critique
8
On en voudrait plus souvent de ces dérivés de qualité
Ce spin-off de Twin Peaks est le fameux journal de la mystérieuse Laura Palmer au cœur de l'intrigue de sa vie à sa mort. Cela donne la chair de poule une telle maitrise du personnage par rien que la...
Par
le 11 avr. 2014
3 j'aime
7
Mais qui est l'idole qui a la guitare où est planqué le diamant à 50 millions de francs ?
50 ans après, je regarde ce film où l'acteur principal n'est autre que le fils de Fernandel : Frank Fernandel. En fait, c'est parce que ça a été un succès au Japon et lancé le terme ainsi que le...
Par
le 9 janv. 2014
3 j'aime
1
2
Ce n'est pas un nanar, c'est un navet
Ce téléfilm est une honte sans fin et indélébile, des milliers de containers de casseroles à lui tout seul. Ce n'est pas un nanar (un mauvais film sympathique) mais un navet géant mutant. En plus la...
Par
le 13 juil. 2015
2 j'aime
