Obligé de rester dans la salle à cause mon mon ami totalement Björkfag, je n'ai pas pu sortir... avec grand regret.
J'ai vécu beaucoup de malaises cinématographiques entre 2003 et 2014, période où j'ai eu la chance d'aller au ciné une à deux fois par semaine. Mais ce film, vraiment : c'était une torture à regarder, j'oscillais entre ennui profond, et insoutenabilité d'une certaine scène que je ne spoilerai pas.
Certes, on est plus proche du happening que du film à proprement parler, mais je suis restée totalement imperméable à cette "œuvre".