De la merde en boite. Le seul fil conducteur de ce film aurait pu être les chansons d'époque de la Motown, mais ils n'ont pas eu (a priori) l'autorisation de les utiliser. Du coup, on se tape pendant la moitié du film des songs qui ne nous parlent pas. Beyoncé n'est pas comédienne et n'a pas la sensibilité d'une Diana Ross. L'histoire est parfois incompréhensible et du coup, on a du mal à suivre. Le seul point positif est historique : on apprend que la Motown a été un moteur de la démocratisation des noirs dans la musique, et que paradoxalement, c'était une usine à tube qui broyaient les artistes.