Critique de Duel dans l'ombre par HENRI MESQUIDA
Quand légèreté rime avec qualité.
le 4 janv. 2016
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John Guillermin fait ici du sous Hitchcock. Un homme ordinaire pris au piège d’une machination infernale, mettant en scène des complotistes d’extrême droite rêvant de rétablir l’ordre moral et le temps bénie des colonies. Guillermin n’égale pas le maitre loin de là, mais cette production typique des années 60 ne manque pas de charme. George Peppard y trimballe sa bouille de petit garçon boudeur de Paris à Rome, il est accompagné par la charmante Inger Stevens, Orson Welles cachetonne en grand méchant. On ne s’ennuie jamais, c’est déjà ça…
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le 2 août 2023
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