Que s'est il passé entre les deux volets ?
A l'intrigue politique riche et vénéneuse du premier se substitue une quête mystique balourde.
Au dilemne du personnage entre pouvoir et filiation se substitue une romance plastique et froide à laquelle on ne croit guère (Zendaya souvent si géniale est monolythique).
Et surtout à l'incroyable sens de la réalisation et du cadre vu dans le premier volet, Villeneuve préfére une forme spectaculaire, évidemment de belle facture mais qui renvoie les promesses d'une saga inédite à un objet presque standard.
On ne s'ennuie jamais certes mais est ce qu'on vibre ?