Je viens de revoir E.T. qui fête son 40e anniversaire. L'émotion ressentie est la même que le jour de sa sortie, en 1982.
BON ANNIVERSAIRE, E.T. !
Le film commence avec un vaisseau spatial au milieu d'une forêt. De drôle de petits bonshommes vaquent tout autour. Quand le rappel sonne, ils retournent vers le vaisseau, mais l'un d'eux est trop occupé à cueillir une plante. Un lièvre l'observe. Le vaisseau repart. Des voitures surgissent et des silhouettes noires munies de torches font une battue.
L'extra-terrestre solitaire fuit et aperçoit, dans la nuit, les lumières d'une ville.
On se retrouve chez Mary, une mère de famille avec ses trois enfants (Mike, Elliot et Gertie, jouée par l'adorable Drew Barrymore dont c'est la 2e apparition)
"""
Elliot découvre E.T. dans la remise et l'emmène dans sa chambre.
Plusieurs scènes amusantes : il se cache parmi les peluches pour ne pas être découvert par Mary.
Spielberg fait un pied de nez aux programmes scolaires incluant la vivisection des grenouilles, heureusement devenue interdite, et fait dire à Elliot qui pense à E.T. en les regardant : "Elles sont faites pour vivre"
E.T. comprend qu'il peut communiquer avec les êtres lointains par le biais du téléphone et s'en construit un. Elliot survole la forêt en vélo pour le déposer là où il l'a trouvé, mais le froid a raison de lui et les scientifiques n'arrivent pas à le sauver.
Elliot le "ressuscite" en lui exprimant son amour. "Téléphone maison" est le premier mot qu'il prononce. Elliot et son frère le ramène dans la forêt où atterrit la soucoupe volante et E.T. repart avec ses congénères, heureux de rentrer à la maison après avoir rassuré Elliot qu'il sera toujours là.
Ce chef d'oeuvre est premier au box-office France en 1982 avec 7 881 332 entrées.
Cette année là, 129 films sont sortis avec une moyenne de 1 068 153 entrées par film