L'enivrant parfum de la bourgeoisie

Assez drôle comme circonstances: ayant écoutée dans la même journée un podcast audio traitant sur la jalousie amoureuse ( Podcast sur la jalousie de KidCharlemagne ) , je tombe par hasard sur le visionnage de ce film. Inspiré d'un roman autobiographique de Mercedes Pinto, « El » (1926), l'histoire porte un regard sur une bourgeoisie Mexicaine catholique dont l'homme possède la pleine acquisition sociale. Une passion dévorante de Francisco à la charmante Gloria entre en scène ce qui va faire basculer le personnage sur la possession excessive sur elle mais aussi vouloir gagner le procès du terrain de son ancêtre. Une jalousie prospective ( cela veut dire anticiper la tromperie de son ou sa conjoint(e) ; on est dans la paranoïa fictive dans ce cas de figure ) va se faire et nous être raconté en flash-back avec quelques ellipses dans le temps. Francisco éprouvera peu de bonheur auprès de sa belle mais aussi dans sa fortune ce qui va le réfugier dans un mal être constant ( le visage masqué des sentiments lors des apparitions public ) avec une religion pansement à ses démons. Je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée à Pedro Pascal en voyant le visage Arturo de Córdova qui ont un visage familier ; c'est la star de cette année 2023 lorsque j'écris cet avis écrit !

« Él » déconstruit un homme puissant sous son impulsion maladive dont Luis Buñuel nous donne l'impression que tout sera possible dans le dernier acte !