Une odeur de souffre.

En voilà une affiche qui attire l’œil, c'est peut être bien d'ailleurs pour cela que tu viendras lire cette critique, toi le fan de veste verte. Oui parce que tout comme moi le cul t'en à strictement rien à foutre. L’histoire démarre avec un voyageur qui cherche à se restaurer, il est attiré par le fumet d'un rôti qu'un homme également jeté sur la route est entrain de se préparer. L'homme invite l'inconnu à partager son repas, il lui parle de sa situation, au fil de la conversation la discussion dérape et l'inconnu fini par assassiner celui qui l'a invité. Bon on se dit dans un premier temps que ce voyageur puni ceux qui rabaisse les petites gens, car celui qu'il assassine est un noble déchu, enfin ce que dit l'homme ne mérite tout de même pas la mort. Rapidement on s’aperçoit que ce voyageur n'a rien d'un être sain, c'est même tout le contraire cet homme n'est autre que le diable en personne. Il tue, ment, vol, baise, et est à la recherche constante d'argent, il est prêt à tout pour pouvoir se payer le confort. C'est la parfaite incarnation du mal, ses agissements sont d'une totale immoralité. Le parcours de ce démon ressemble à celui de certains tueurs en série qui tuent pour mener une vie facile.

L'homme est un être que le diable n'a pas besoin de beaucoup tenter pour le faire tomber dans les pièges qu'il lui tend. Chacun a une faiblesse dans laquelle le démon sait s'engouffrer. Sur sa route il fera la rencontre d'un jeune serviteur qui est le souffre douleur d'un maitre aveugle, le diable prendra avec lui ce serviteur pour en faire le sien. Lorsqu'un jour le jeune homme lui parlera de son espoir dans l'humanité, son maitre lui montrera ce qui attend la destinée du monde avec des images de la seconde guerre mondiale, il ne pourra y croire. Si le diable est venu sur terre pour s'amuser dans la peau d'un mortel il en tira une morale sur l’être humain qui lui laisse entrevoir encore de beaux jours.