Le film est ce qu'il est, c'est à dire un film muet difficile à suivre puisque les cartons les plus importants sont des extraits d'un poème de Rudyard Kipling. Si le film avait été long, pas sûr que la motivation d'aller au bout me soit restée, l'avantage c'est qu'il ne fait que 68 minutes et que quand Theda Bara est à l'écran tout le reste n'a plus vraiment d'importance.
Ce qui compte réellement c'est sa présence, sensuelle, électrisante, envoûtante.
Parfois le cinéma peut se résumer à une actrice fascinante, pas besoin d'y chercher autre chose.