"On danse pour rire, on danse pour les larmes, on danse pour la folie, on danse pour les peurs, on danse pour les espoirs, on danse pour les cris, on est les danseurs, on crée les rêves."
Albert Einstein.
La fiesta, ceci sans relâches dans tous ses aspects et surtout tous les différents personnages et situations qu’elle génère, loin de la routine et de son ennui.
Comediante, Tragediante sur tous les fronts, transcendés à l’extrême dans un espace liberté que l’on déploie à son maximum.
Fantasque exubérant et spontané se déchainant subitement en tout lieux n’étant finalement que le refuge d’un mal de vivre que l’on colmate du mieux possible le temps de quelques dérives.
Partenariat bipolaire hilare et dépressif en alternance ne faisant que se nourrir que de ses stimulants euphoriques et de ses idées noires.
Que l’on extériorise toujours de manière hyperactive, que ce soit l'un ou l'autre, sans discerner le danger de ne fournir dans une virtualité de plus en plus radicalisée que les performances d'une machine détraquée.
Remodelages fictifs à temps complet ou l’on appartient plus qu’a ses absences.