9
Ashes to ashes
Voilà un film qui divise, auquel vous avez mis entre 1 et 10. On ne peut pas faire plus extrême ! Rien de plus normal, il constitue une proposition de cinéma très singulière à laquelle on peut...
le 5 déc. 2015
80 j'aime
11
Never ever...
Le spectateur, après avoir été assomé par le générique d'entrée, incarne l'âme d'Oscar dans les derniers instants de sa vie, après sa mort et jusqu'à sa réincarnation.
Gaspar Noé pour son troisième long metrage, nous embarque donc dans un voyage spirituel entre les deux vies d'une âme (selon la tradition tibétaine), une âme qui ressasse le passé de son ancienne vie, et qui reste désespérément attachée à ses proches, assistant à leur malheur et leur détresse.
L'immersion est totale, le visuel extrêmement travaillé donne une intelligence pour le moins inhabituelle et poétique au film, les acteurs sont fous, tout particulièrement Paz de la Huerta qui est à la fois fragile, touchante et sublime dans ce rôle de Linda (la soeur d'Oscar) les deux enfants sont juste boulversants, la BO qui contribue très largement à l'immerson dans ce trip est tout simplement sublime....
En résumé, Enter the void est un longue rêverie de 2h30 offrant au spectateur une vision troublante, malsaine mais toujours poétique, de la vie, de la mort, de l'amour.
Du très grand art, une vraie expérience.
Gaspar Noé pour son troisième long metrage, nous embarque donc dans un voyage spirituel entre les deux vies d'une âme (selon la tradition tibétaine), une âme qui ressasse le passé de son ancienne vie, et qui reste désespérément attachée à ses proches, assistant à leur malheur et leur détresse.
L'immersion est totale, le visuel extrêmement travaillé donne une intelligence pour le moins inhabituelle et poétique au film, les acteurs sont fous, tout particulièrement Paz de la Huerta qui est à la fois fragile, touchante et sublime dans ce rôle de Linda (la soeur d'Oscar) les deux enfants sont juste boulversants, la BO qui contribue très largement à l'immerson dans ce trip est tout simplement sublime....
En résumé, Enter the void est un longue rêverie de 2h30 offrant au spectateur une vision troublante, malsaine mais toujours poétique, de la vie, de la mort, de l'amour.
Du très grand art, une vraie expérience.
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les films qui ont changé ma vie, , Les plus belles claques esthétiques et Les plus belles affiches de films
Créée
le 18 févr. 2011
Critique lue 768 fois
9 j'aime
D'autres avis sur Enter the Void
3
La drogue du violeur
Voilà une dope pernicieuse mes biens chers frères ! Emballée dans son string ficelle, elle joue à la petite pétasse de club, corps fuselé, le téton qui pointe, pose lascive et outrancière, ces lèvres...
Par
le 6 janv. 2011
68 j'aime
15
7
Ça aurait pu, du (?) être un chef d'oeuvre...
Enter. Noa, un an après le buzz. Bon, je suis un peu en retard, mais on va arranger ça. Je suis assise, devant la giga télé de monsieur, avec le super son qui dépote. Et c'est parti ! Pour les...
Par
le 29 mars 2011
59 j'aime
8
Du même critique
10
Make Love, not censure
Je ne cherche absolument pas à construire dans cette critique un avis objectif de Love, mes notes et mon admiration pour le cinéma de Gaspar Noé rendent toute objectivité impossible et vaine. Par...
Par
le 19 juil. 2015
10 j'aime
18
9
Never ever...
Le spectateur, après avoir été assomé par le générique d'entrée, incarne l'âme d'Oscar dans les derniers instants de sa vie, après sa mort et jusqu'à sa réincarnation. Gaspar Noé pour son troisième...
Par
le 18 févr. 2011
9 j'aime
8
La vengeance est un plat que se mange encore, et encore et encore, et encore ...
"I saw the devil" c'est "arrête moi si tu peux" avec des personnages un tout petit peu plus malades dans leur tête, et un tout, touuuuut petit peu plus violents. C'est brutal, crade et en gros c'est...
Par
le 26 févr. 2013
7 j'aime
