tout commence comme au ralenti. Chaque geste est mesuré. La tasse trouvera sa place dans le coin droit de la table et la cuillère sera posée en parallèle. Toujours. On se retrouve nez à nez avec ce grand black chauve et insomniaque passant chacune de ses soirées à lire, accoudé au bar du coin.... Puis tout explose et vous arrive sur la gueule sans prévenir. Danzel dans un rôle qui lui colle à la peau. Un charisme implacable, le regard noir et froid du tueur caché sous une fourrure d'agneau qui sera amené , par vengeance, à montrer les crocs.
Bien que moins réussi ce film reprends le idées du fantastique " man on fire ". Washington y étant, la encore , pour beaucoup.