Europe 51 (1953)
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Version restaurée vue en salle, rétrospective Roberto Rossellini "Une vie de cinémas".
Bon concept qui s'embourbe dans le mélodrame, la caricature. Le discours, méritant d'être entendu, en devient tonitruant. Dommage pour un film plus personnel.
Score: 6,5/10
Plaisir: 2/5
Rosselini X Ingrid Bergman = un bon et un mauvais résultats:
- des films néo-réalistes mélodramatiques,
- Isabella Rossellini.
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A foreign superficial (sounds familiar?) bourgeoise and bad mother has a revelation. She (and the film) will then go on criticising the paths of communism or the catholic institution, making a modern saint / martyr of her along the road.
Caricatural from the start and veering rapidly into melodrama probably for the sake of lecturing its audience in an easy way (as part of an interesting concept), the middle part where the heroin lives her classes clash is the more interesreting one.
As before, the more documentary parts (like the factory scenes) are the highlights of the film.
Bergman's character being of foreign origins, I don't understand the point of dubbing her.
Score: 6/10
Enjoyment: 2/5
"It's love for your fellow man.
— No, it's hate. Love for the others is only born of the hate I feel for myself, for all that is and ever has been mine."
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Créée
le 10 août 2021
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