Miss Terminator
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Oscillant entre "Terminator" et "Runaway, l'évadé du futur", voici qu'arrive pour la première fois en haute-définition en France une succulente série B intitulée "Eve of Destruction". Mis en scène par Duncan Gibbins, un réalisateur de clips musicaux à qui l'on doit "Don't live me this way" des Communards ou encore "Wake me up before you go-go" de Wham, ce petit thriller de S.F. nous narre l'avènement d'une nouvelle race de cyborg. Ceux-ci, semblables aux humains, doivent se fondre dans la masse, mais bien évidemment, conçus à des fins militaires, ces êtres cybernétiques sont dotés d'un arsenal "Top Secret". Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu'au jour où Eve VIII (Renée Soutendjik "Le Quatrième Homme" chez Verhoeven) se détraque méchamment lors d'un braquage de banque. En tout point, le sosie du Dr Eve Simmons (toujours Renée Soutendjik), EVE VIII devient vite incontrôlable. Lancée dans une expédition punitive et meurtrière entre passé et présent, la robote sème des cadavres à tous vents. Pour la stopper, les autorités font appel au colonel des opérations spéciales Jim McQuade (Gregory Hines), un gros bras qui n'entend rien en matière d'intelligence artificielle. Le duo McQuade/Simmons n'a que 48 heures pour mettre EVE VIII hors d'état de nuire, avant un désastre ! Nous sommes en 1991 - et une fois encore - le cinéma nous met en garde contre les dérives éthiques des I.A. "Eve of Destruction" souffre parfois d’un manque visible de moyens (sur certains SFX), mais le récit nous permet d'apprécier un cas plutôt inédit en matière de “buddy movie” à savoir : l’équation décalée entre un bidasse borné et une scientifique idéaliste. De plus, la prestation schizophrène de l’actrice Hollandaise est vraiment impressionnante...
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Créée
le 16 nov. 2023
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