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Auto-Tune
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le 8 nov. 2011
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Fast and Furious par Deathblue
Soyons francs. Fast and Furious n'est pas le film du siècle, c'est certain. On pourrait même le qualifier de classiquement primaire avec son intrigue aussi plate qu'un 6 cylindres et son histoire d'amour de convenance.
Heureusement, le but du film n'est pas d'exhiber son fond mais plutôt ses formes. Rob Cohen nous propose de plonger dans le monde secret des courses de nuits, peuplé de voitures rutilantes, de rauques souffles mécaniques, d'aspirations de nitroglycérine et de jolies filles.
Cette découverte est réussie tant elle est immersive par ses cascades rondement menées à toute vitesse et ses illuminations de flashs et néons.
On peut aussi saluer le jeu adapté de Vin Diesel qui arrive à insuffler un charisme à un personnage de méchant gentil torturé stéréotypé.
Adoré ou détesté, Fast and Furious marque l'ouverture de la pratique du tuning à un public plus large. Et la création de nombreux dérivés pour exploiter le filon (cf. la série des Need For Speed Underground et autre Juice notamment)
Heureusement, le but du film n'est pas d'exhiber son fond mais plutôt ses formes. Rob Cohen nous propose de plonger dans le monde secret des courses de nuits, peuplé de voitures rutilantes, de rauques souffles mécaniques, d'aspirations de nitroglycérine et de jolies filles.
Cette découverte est réussie tant elle est immersive par ses cascades rondement menées à toute vitesse et ses illuminations de flashs et néons.
On peut aussi saluer le jeu adapté de Vin Diesel qui arrive à insuffler un charisme à un personnage de méchant gentil torturé stéréotypé.
Adoré ou détesté, Fast and Furious marque l'ouverture de la pratique du tuning à un public plus large. Et la création de nombreux dérivés pour exploiter le filon (cf. la série des Need For Speed Underground et autre Juice notamment)
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le 16 août 2010
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