L'artiste comique au canotier et aux lunettes rondes enchaîne quelques semaines après son film culte Monte là-dessus avec Faut pas s'en faire. Un millionnaire hypocondriaque part en cure sur une île l'Amérique du Sud en proie à une révolution, grâce à ce prétexte, les auteurs misent pour faire rire autant sur des malentendus ou sur la naïveté et malchance de son héros que sur des gags purement burlesque. Comme souvent dans ce type d'oeuvre, il y a des moments de grandes inspirations comiques et d'autres plus anecdotiques.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Mon Top 1923 des meilleurs films
Créée
le 4 févr. 2019
Critique lue 148 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Faut pas s'en faire
Éternellement placé entre Buster Keaton et Charlie Chaplin, Harold Lloyd coréalise Faut pas s’en faire et y interprète un personnage lunaire, étranger à son environnement. Il fait ainsi de ce film,...
le 6 avr. 2018
1 j'aime
En Amérique du Sud, un bâillement s’impose depuis le balcon où un homme fait la cour à une femme au sol, une cigarette et une rose accompagnent cet événement déjà bien trop souvent intervenu au...
Par
le 16 déc. 2021
Dernier film de Harold Lloyd produit par Hal Roach et premier tourné sans sa chère complice Mildred Davis, devenue sa femme. Les aventures d'un hypocondriaque égocentrique qui guérit en faisant le...
le 1 août 2019
Du même critique
Voilà une belle réussite en matière de maison hantée, un genre codifié et pas évident. La première moitié du film est clairement axée sur des scènes de frissons qui sont simples mais particulièrement...
Par
le 27 oct. 2014
10 j'aime
4
François Truffaut démontre si le fallait encore l'amour qu'il porte au cinéma (détail drôle c'est qu'il parle d'un film tourné en studio). Les coulisses de cet univers avait rarement été filmé de...
Par
le 22 nov. 2023
9 j'aime
2
Il y a vraiment quelque chose dans ce film, c'est non seulement un très bon drame familial mais également une oeuvre qui devrait être un symbole pour de nombreuses femmes, sur l'émancipation. Le...
Par
le 29 juil. 2016
8 j'aime
