En regardant ce téléfilm en espagnol, je me suis replongé dans les années 90, oú le sida était synonyme de mort. Les Américains sont champions pour que le téléspectateur verse sa petite larme. Cette fois-ci, notre héros se sachant condamné, organise une fête pour dire adieu à sa famille et à ses amis. Lors de cette soirée, le jeune homme retrouve son grand amour au masculin. Un amour bien sûr qui ne s'est jamais éteint. S'ensuivent des scènes de souvenirs heureux, et d'autres d'une extrême tristesse. La douleur s'accentue lorsque le malade rend son dernier souffle.