Demi-molle
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Le blond, le noir, la monarchie, la république, le passé, le futur… Le film jongle avec les contraires et déroule en musique un beau rêve de réconciliation face à l’incendie climato-érotique qui menace, et à l’urgence de l’amour.
J’aime les métaphores simples et directes de João Pedro Rorigues et sa façon frontale d'aborder le désir. Déjà dans O Fantasma… des camions poubelles déversaient nuitamment des monceaux d'ordures dans lequel errait le héros, dévoré par son désir pour un beau motard à peine entrevevu… Inoubliable image de l'inconscient.
Dans Feu follet, le désir se fait apparemment plus joyeux, comme une envie d’apporter un peu d’espoir, une invitation à danser, à dépasser nos antagonismes, à nous aimer, à nous caresser, pour sauver les forêts du Portugal… et l’humanité ?
Créée
le 29 sept. 2022
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