Final Fantasy VII: Advent Children par 0eil
Donc, en gros, c'est des mecs efféminés qui se livrent une bataille sans merci durant plus d'une heure. Ok.
Avec un brin moins de méchanceté, comme de nombreux amateurs, on m'avait vanté les mérites du scénario de FF VII et je m'étais laissé convaincre, à force d'en lire à ce sujet. Donc j'attendais Advent Children avec intérêt. Et là, bim, vide intersidéral, des combats très (trop) chorégraphiés se succèdent à d'autres combats chorégraphiés. Le personnage principal est un trésor d'absence de présence à l'image. Taciturne, ok, mais de là à être à deux doigts de l'autisme le plus insupportable, quand même, y'a un monde. Je crois qu'il n'y a que la fin qui m'a fait dresser un sourcil, parce que "je te feinte en tranchant en deux un immeuble", ok, c'était cool. Ca a ravi la partie la plus 14-ans-j'aime-les-effets-de-manche de ma petite personne. La partie réfléchie qui aime les scénarios intéressants, elle, était allée se coucher une dizaine de minutes après le début.