Director’s cut
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Flame of Desire est une autre de ces petites productions sans un sou qui surfait sur la vague en vogue de soft porn. Et lorsqu’on s’intéresse à la filmographie de son auteur, on perçoit le type de tâcheron qu’il est. Il est venu comme beaucoup prendre son argent sur un type de film sans consistance et tablant essentiellement sur des scènes de sexe. Pour ces dernières, le compte y est, même si peu émoustillantes. Le chaland qui se laissera tenter pour la jaquette ne sera donc pas déçu. Pour le reste, c’est creux, long et sans rythme. On s’ennuie devant ce téléfilm érotique qui aurait croisé le chemin d’un épisode de l’Inspecteur Derrick. L’intrigue réserve une histoire de chantage, de mensonges et de vengeance. Les acteurs sont mous, sauf dans les ébats amoureux (encore heureux !). Il faut notamment voir ces acteurs interprétants des policiers, statiques et comme répétant leur texte. On est loin d’un quelconque naturel comme d’un talent au niveau de la mise en scène. Bref.
Flame of Desire est un petit film qui n’a rien à offrir, si ce n’est l’ennuie et une perte de temps.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2013/09/23/flame-of-desire-1993-wan-ging-cheung-avis-review/)
Créée
le 14 nov. 2013
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