C'était la guerre du Vietnam, le Living Theatre remplissait les salles officielles, on lisait Lovecraft et Bourroughs, et Morrissey et Warhol faisait ensemble la trilogie phare du mouvement Underground Flesh, Trash, Heat, projetées dans les salles Art et Essai (où sont-elles passées), parce que quand même c'était un peu too much.
On y découvre l'acteur fétiche de Morissey, le trop beau Joe d'Alessandro (qui jouera aussi dans Je t'aime, moi non plus de Gainsbourg) et Patti d'Arbanville pour qui Cat Stevens écrira sa sublime chanson My Lady d'Arbanville.
Dans Flesh, le sexe est la grande affaire, sur fond bruissant de dollars. Pour la bonne raison que Joe ne compte que sur le sien pour en récolter. Avec un brin d'humour,.