Interminable deuil
Avant tout mitigé, perplexe et pas entièrement convaincu, me voici un peu embarrassé face à ce dernier projet de François Ozon, qui, osons le dire, n'est pas totalement clair et fait du sur-place...
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le 8 sept. 2016
51 j'aime
8
Désireux de travailler sur le mensonge, François Ozon nous emporte au lendemain de la première guerre mondiale, dans l’Allemagne de 1919, afin de nous confronter à l’aveuglement de l’Europe contemporaine. S’inspirant d’une pièce de Maurice Rostand portée à l’écran par Ernst Lubish (BROKEN LULLABY), le réalisateur français construit un mélodrame en deux mouvements qui, en transcendant au second plan la réalité de deux pays meurtris par leur déchirement, nous invite à penser notre propre devenir. Eclairant.
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Créée
le 11 sept. 2016
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Si l'on devait ajouter une couleur à la palette de François Ozon, une teinte qu'on ne lui connaît pas, ce serait celle de la subtilité ou du moins de la sensibilité. Le ton qu'il adopte dans Frantz...
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