Interminable deuil
Avant tout mitigé, perplexe et pas entièrement convaincu, me voici un peu embarrassé face à ce dernier projet de François Ozon, qui, osons le dire, n'est pas totalement clair et fait du sur-place...
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le 8 sept. 2016
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Depuis Lubitsch, Ozon coule dans un noir et blanc formidable la fable d'une génération sacrifiée par ses pères. Bon gré mal gré, on sent encore parfois l'origine théâtrale du film, malgré de belles saillies de scénario.
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Créée
le 26 sept. 2016
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