Fureur noire
6.1
Fureur noire

Film de Ivan Dixon (1972)

so much things to say... for nothing (ah, money for nothing )

j'étais curieux de voir si , ce film était à la hauteur voir, dépasser le cadre de sa bande-son mythique (Marvin Gaye), pour cette Fureur Noire (drôle d'idée cette traduction. mais, bon, passons). et forcé de constater que ce détective privé (incarné par Robert Hooks), combine trop de chose à mon gout. requin de piscine, détective donc et homme à tout faire du ghetto , menant ses affaires depuis un club de billard, dans un centre-ville de Los Angeles. T (le nom du héros),achète une voiture neuve chaque année, porte des costumes coûteux , et habite un appartement haut de gamme. il s'occupe des gars du quartier, il a des relations mitigés avec la police et les gangsters , et semble savoir comment distinguer les bons et les méchants des deux côtés (et ça, ça se déroule pendant le quart d'heure du film. ça commence à me prendre la tête.. une envie d'abandonner. mais non, je reste) et la, commence l'histoire : T est approché par Chalky et son partenaire, Pete , qui organisent des jeux de dé clandestins dans le quartier. Chalky dit à T qu'ils ont été arnaqués à plusieurs reprises par un groupe de quatre voleurs et qu'ils veulent l'embaucher pour découvrir qui sont ces braqueurs masqués.

T prend l'affaire comme un boulot de routine et se dit prêt à effectuer le travail pour un bon prix. Ce qu'il ignore, c'est que Chalky et Pete tentent de faire tomber leur rival dans le crime Kingpin Big . Ils piègent T en le mouillant pour l'assassinat de l'un des lieutenants de Big, qui est abattu par Chalky quelques instants après que quatre hommes aient volé la recette d'un jeu de dés (T était présent au braquage). Un informateur anonyme dénonce T pour le meurtre et en fait une cible pour Big et pour le capitaine de la Police de Los Angeles, Joe Marx ), qui n'aime pas T par principe. Cela déclenche une série de rebondissements et de confrontations auxquels T est déterminé à survivre. ce film a été réalisé par Ivan Dixon, le même qui avait sorti The Spook Who Sat by The Door (Notre Agent de Harlem. mais pourquoi une traduction pareil, pourquoi ?) , film qui ne m'avait guère enchanté (malgré son bon thème basé sur un livre au même titre). autant dire, à quoi je m'attendais. au revoir à jamais (plus jamais).

GnM
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le 21 sept. 2022

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