Franchement peu attiré par l'humour, que je considère comme cheap, de Gad Elmaleh, il faut avouer que le frenchy sommeillant dans mes entrailles avec, malgré des réticences antiaméricanistes chaque jour plus nombreuses, des paillettes plein les yeux lorsqu'il imagine l'Amérique chantée par Dassin, vendue par Hollywood (sic), ses stars et son exubérance, a pouffé à quelques reprises (quatre pour être exact) devant ce spectacle de stand up essentiellement orienté vers le choc culturel entre l'Europe et les États-unis. Je ne me suis pas fourvoyé dans des esclaffes incontrôlables, mais j'ai apprécié l'objet. Attention, ça reste entre nous...