Avec ses couleurs acidulées, ses costumes somptueux, ses fêtes démesurées, la voix-off du narrateur, on aurait pu croire qu'on allait nous raconter une jolie histoire, un genre de conte de fées moderne. Si le fait que Nick raconte l'histoire à un psy ne nous avait pas un peu mis la puce à l'oreille, on aurait pu croire être devant un conte un peu naif. Oui c'est comme ça que commence l'histoire et cela rend encore plus violente cette fin dramatique.
Grandeur et décadence voilà qui résume bien ce film.
Gros bémol à la musique qui parasite parfois un peu trop. Le spectateur se retrouve à se demander si c'est bien Back to black ou Crazy in love qu'on vient d'entendre dans une version années folles qui sent quand même beaucoup le 21éme siècle.