I told you so
Bon, pour ceux qui n'ont pas vu le film, passez votre chemin. Ce qui m'a attiré de prime abord, c'est le "genre : horreur" annoncé par la com sur la toile couplée au pitch: "Chris est noir. Chris...
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le 22 mai 2017
140 j'aime
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Mains soudées au fauteuil, yeux béants sur l’abîme de l’effroi, plongée dans le racisme ordinaire. Figure glaçante d’un vampirisme moderne. On peut lui reprocher une fin convenue ou sans surprise, décevante même je suis d’accord. Surtout après une longue partie qui peu à peu amène le malaise, puis l’angoisse paranoïaque et l’effroi. Mais, néanmoins j'ai plutôt apprécié le film dans son ensemble. Une vision originale sur la question raciale dans une certaine société « bien pensante » faussement antiraciste. La métaphore du vampirisme m’est venue à partir de ce désir de régénérescence à partir de la manipulation de l’autre et l’absorption d'une partie de de son esprit , sur la base de préjugés. Et c'est une manière de le condamner , par cette habile mise en scène qui joue sur nos nerfs, sans oublier cette pointe d'humour très noir qui côtoie la monstruosité.
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Créée
le 29 juil. 2024
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