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Oui, Gigolo and Whore est un délice. On y suit donc l’apprentissage d’une nénette issue de sa campagne pauvre qui va faire pleuvoir les billets de banque parce que son « sifu » a su tirer d’elle le...
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le 24 janv. 2012
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Oui, Gigolo and Whore est un délice. On y suit donc l’apprentissage d’une nénette issue de sa campagne pauvre qui va faire pleuvoir les billets de banque parce que son « sifu » a su tirer d’elle le meilleur. Un film sympathique dont certaines scènes font sourire et le Terry Tong (Coolie Killer, c’était lui) à la réalisation est loin d’être un branque. Rien que dans les scènes érotiques, il offre une mise en scène plutôt intéressante. De celle qui ouvre le show dans les toilettes d’un pub (il me semble), en passant par le moment intime Lau/Yam fait d’ombre et de lumière jusqu’à celle chez la psy’ où (« Mon Dieu ! Que fait-elle là ?! ») Sophia Crawford, plus connue pour la tatane qui offre à nos yeux son corps svelte et ferme, ambiance boîte disco (par ailleurs).
On n’oubliera pas non plus Alex « Richard Gere » Fong Chung-Sun qui s’offre un petit rôle de millionnaire patibulaire et offrant par la même occasion un clin d’oeil gros comme ça à Pretty Woman (l’original US et non HK). Il n’empêche que Gigolo and Whore coiffe au poteau ledit film. La morale ? On s’en fiche. L’argent, c’est le nerf de la guerre en somme. L’amour, on s’en fiche. La prostitution de luxe, c’est classe puisqu’on roule en Porsche. Celle de la rue, c’est pas classe et surtout ce n’est pas le propos, passe ton chemin. On parle de classe ici, la grande, la vraie. OK ! Stop ! C’est parfois limite, je concède. Il n’empêche ! Ça reste un film qui donne comme il se doit et ce durant deux bonnes parties du film mais qui s’avère malheureusement moins digne d’intérêt dans sa dernière.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2012/06/29/gigolo-and-whore-1991-terry-tong-gei-ming-avis/)
Créée
le 24 janv. 2012
Modifiée
le 7 août 2012
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