Les deux premiers épisodes de cette trilogie (que si on regarde bien c'est un seul film séparé en 3 actes) étant pas franchement ouf, mais avaient le mérite de vouloir bien faire, innover, et proposer une histoire complétement différente de ce que l'on à l'habitude de voir avec Godzilla, ça et le charme particulier des productions issu de Polygon Pictures, okay c'est rigides, on voit les astuces pour baisser les coûts au max et les personnages sont presque toujours sous prozac MAIS on s'habitue.
Par contre là j'ai l'impression que le réal à tout laissé tomber... il ne se passe presque rien.
Attention le reste va spoiler !
Le rythme du film chute et nous propose encore plus de bullshit pseudo scientifique et se répète sans cesse, dans des scène inutile ou l'ont a même pas besoin d'explications. Et ça dur, mais ça dur ! Entre la fausse bataille entre les kaiju, les rêves prémonitoire pourri de Harouo, la réflexion philosophicomescouilles dans l'espèce de caillou vert suivis des même flashback, et les personnages qui captent rien, nous seulement on s'ennuie, mais en plus ça n'apporte presque rien à l'intrigue, et ça dure mais des plombes !
Et ça se termine comment ? Et bien on détruit le médaillon magique (...) pour que Godzilla détruise son adversaire, la trilogie entière n'a eu aucune utilité puisque les humains n'ont fait que perdre du début à la fin, n'ont pas vaincu leurs ennemis, le héro n'a pas évolué d'un pouce et est resté vénére du début à la fin. Les excif, les bilousaloudomasochiste... bah on s'en branle parce que à deux trois ligne du script à modifier l'univers du film aurai été exactement le même. Et le dernier chapitre ça se résume à : c'est pas bien la haine, et la technologie c'est mal, le tout mal mis en scène, à tel point que j'ai du regarder les 10 dernières minutes 2 fois avant de capter ce que le film avait tenté de mettre en scène dans une envolé nanard.
Donc quoi en penser ? Une trilogie qui partait pas trop trop mal et avait du potentiel, qui se termine droit dans le mur avec un scénario prétentieux, un univers décroché de son intrigue, et une fin débile.