Le film suivant, qui nous vient des États-Unis, est un étonnant mélange du cinéma contemporain coloré en plan fixe de Wes Anderson, et des bizarreries érotico-sociales fluos du cinéma de Gregg Araki. Tableaux absurdes d’une certaine classe américaine décadente, Greener Grass de Paul Briganti, est un vrai plaisir dont l’anormalité, traité avec le plus grand sérieux du monde, confère au film une atmosphère non-sensique des plus incongrues, parodie d’une utopie bancale et inatteignable.
Tiré du journal du festival des Hallucinations Collectives 2016 : lire l'article entier sur mon site...