Quand Karin Viard était jeune elle était belle, elle était vraie surtout! Je me suis surprise a l'aimer dans ce film, tant sa "transparence" perce l'écran, son teint pâle, ses cheveux courts, son allure garçonne, sa silhouette de rêve, un mari "parfait" (un écrivain parisien dis donc! que bella cio!) dans un appartement bourgeois, elle musicienne passionnée, : son histoire a pourtant presque tout de la vie calme et tranquille d'une française bien classée sur l'échelle sociale. Mais voilà, il y a un hic et lequel : un cancer du sein et patatra. Rêves d'enfants brisé, couple qui bât de l'aile, famille en éclat, la vie s'émiette dans ce mouchoir de poche! Bien évidement, le réalisateur passe au peigne fin son évolution capillaire (putain! c'est pas drôle!) jusqu'à la rendre blanche comme neige dans la scène finale : teint cadavérique du fin fond d'une chambre d'hôpital le soir du noël. Quelle tristesse ce film! J'aurait pas choisi haut les coeurs en titre mais plutôt "bonjour tristesse" (sagan)


allez salut!

aechoes
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le 30 oct. 2019

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aechoes

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