Director’s cut
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Dans une vibe très « téléfilm » érotique, Hidden Desire vaut surtout pour ses actrices et son grand nombre de scène de sexe qui assouvira sans doute le plaisir (coupable) en solitaire des intéressés. Ce soft-porn qu’est Hidden Desire se manifeste dans un grand bureau, le long d’une baie vitrée, sur le toit d’une voiture au clignotant droit allumé, sur un bateau avec le jeu (de superposition) d’une lune pleine comme si notre couple était sous le feu des projecteurs, au milieu d’un salon d’une cage à poule, d’une pièce japonaise jusqu’à la fameuse scène du viol dans une chambre d’hôtel où excelle cette raclure de Charlie Cho. Un moment de Category 3 érotique en somme.
Ho Fan met en image ce Hidden Desire de manière plutôt intéressante, très atypique dirons-nous. Après… il ne faut rien chercher du côté du scénario signé par Franck Kong (spécialiste des scénarii Cat.III), c’est… le désert. Nous ne sommes jamais bien loin de s’ennuyer donc. Il vaut mieux se trouver dans un bon jour pour l’apprécier ou tout bonnement le supporter. Qu’est-ce que cela doit être si ce n’est pas le cas alors ? On applaudira sinon la brochette d’actrice plutôt performante : Veronica Yip (qui débutait sa carrière avec deux autres films à la même période dont Pretty Woman), Rena Murakami, Sharon Kwok et quelques autres.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2012/06/01/hidden-desire-1991-ho-fan-avis-critique-review/)
Créée
le 2 juin 2012
Critique lue 563 fois
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