Olga Kurylenko va devenri un aimant à navet dans le cinéma international. Car avec High Heat, on reprend du rab bien dégueulasse. Il suffit que visuellement vous tombez sur les personnages secondaires pour vous rendre compte du kékéland du film (les lunettes de soleil dans un parking, la moustache un peu trop poussée). ne parlons pas du niveau d'acting et de certaines scènes fortement curieuses pour un film d'action. Même si le film est loin d'être catastrophique, on suit Ana, une cheffe qui vient d'ouvrir son restaurant mais qui se fait incendier par des malfiosos. C'est cliché, éternellement déjà-vu .