La formule Besson :
- Il faut que le héros il soit costaud, et qu'il protège une fille (une pute) des méchants
- Il roule dans une Audi
- Puis y pète la gueule à un gros black
En fait, ne manquent que les yamakasis.
Au-delà de la boutade (de la vérité), Hitman remplit son contrat en matière d'action décérébrée et ô miracle lisible. Dommage qu'on tente vainement de coller un "scénario" ultraprévisible et un acteur sans charme, sans classe, sans rien dans le perso principal. Reste Olga Kurylenko en string, Olga seins nus, Olga qui chauffe le mec, Olga et ses yeux qui brillent, Olga seins nus (again)... Un divertissement pour ado qui s'assume même s'il tente sournoisement de péter plus haut que son cul par moments. Aussitôt vu aussitôt oublié.