On croit d'abord retrouver le pitch de 8 femmes, le sexe fort en plus et les chansons niaises en moins. A regarder, on en est loin.
Un meurtre inexpliqué, la recherche d'un bouc émissaire, le héros qui en est le parfait... Du sexe sale, des personnages caricaturaux qui pourraient faire sourire, mais en fait non, même pas, une fin censée créer la surprise mais au final plus que décevante (franchement, on avait tous deviné, non ?)...
Holiday, porté à bout de bras par des acteurs qui ont du mal à se placer dans le décors léché (mauvais jeu de mot) de ce capharnaüm, est une bouillie sans nom de tout ce qu'on trouve de plus abominable dans le cinéma français, le tout arrosé d'une sauce au sperme acide et bon marché.