Hommes, femmes : mode d'emploi par Alligator
Ca devient un peu encombré de discours que la charlatanerie ésotéro-manipulatoire peut s'empresser d'applaudir : du style on est malade parce qu'on le vaut bien. Soyez heureux, vous serez sains de corps. Le cancer à ceux qui le veulent au fonds d'eux-même. Bref, des propos nauséux, en espérant qu'il soient commandés par une sorte de naïveté de la part du cinéaste et non pas par de la pure connerie. On avait déjà eu droit à l'antienne métempsychotique sur les précédents Lelouch, serait-ce un pas de trop dans le n'importenaouak newagien? Parait que le nouveau siècle sera spirituel. Je dois retardé, c'est possible! Si! Si! C'est moi qui déconne! Je ne dois pas être suffisamment ouvert pour le nouveau millénaire. Je ne dois pas être prêt. Voilà, un film à voir quand on est prêt!
A noter toutefois que le jeu des comédiens est largement comestible.