Director’s cut
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
Hong Kong Godfather, le film de 1991 (petite précision tant ce titre fut utilisé) réuni tout au long de sa durée tout ce qu'on a l'habitude de voir dans les films de triades lambda. Rien de nouveau donc. On y retrouve une police prête à tout pour remplir sa mission mais également avec des éléments corrompus, la « gentille » triade ainsi que la « mauvaise » qui donne ici dans le trafic de cocaïne. Elles s'affrontent notamment à travers des jeux de pouvoirs qui vont bon train. On y voit aussi une love story, le code d'honneur respecté par certain et bafoué par d'autre mais on a le droit surtout à des scènes que tout amoureux de film d'action et policier apprécieront. Si le film n'apporte rien de neuf, il permet au moins de passer un moment tranquille en territoire connu (pour l'initié). On retiendra de Hong Kong Godfather sa scène d'introduction (l'entrée en scène de la police), une scène de gunfight où excelle Andy Lau et Roy Cheung mais surtout l'affrontement monstre qui conclu ce métrage dans le chaos le plus total. En somme, presque que du bon.
Hong Kong Godfather n'a rien d'exceptionnel certes mais il a au moins le mérite de distraire et ce dernier plan sur le drapeau de la République Populaire de Chine est des plus éloquent qui soit. Notamment parce que la drogue vendue (celle du nouveau débouché) dans le film vient du Mainland et il y plane déjà une aura de rétrocession qui semble nous dire entre les lignes (de coke) : la Chine c'est le Mal. Attention danger.
(voir la peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2012/03/30/hong-kong-godfather-1991-hoh-cheuk-wink-avis-critique/)
Créée
le 7 avr. 2012
Critique lue 243 fois
1 j'aime
Du même critique
Disparu. L’Enfer des armes de Tsui Hark est une œuvre mythique à elle toute seule. Troisième et dernier film de Tsui Hark de sa période dite « en colère », l’original est interdit par le comité de...
Par
le 31 janv. 2013
32 j'aime
2
The Murderer commence dans le Yanji, ce début de film est d’un aspect quasi documentaire, Na Hong-jin nous montre une région aux immeubles vétustes et sinistres. Il y a une misère palpable qui...
Par
le 11 févr. 2013
31 j'aime
2
Kim Jee-woon réalise une pépite de style. La réalisation a du style comme son personnage principal (Lee Byung-hun). Tout y est stylé, les plans, les costumes taillés, la belle gueule du héro...
Par
le 28 mai 2013
31 j'aime