Ralala, c'est encore + blindé de défauts que dans mon souvenir... o_o
Bon, tout de suite, les trucs qui fâchent, à rebourd : le climax, toujours aussi pourri
(et vas-y que je te balance un maelström informe en guise de némésis),
juste avant cela,
une espèce de parodie de théâtre chiant subventionné (pléonasme) avec la confrontation tragi-comique père-fils (théâtralisation complètement assumée : fond noir, spots dirigées sur les personnage, sur-jeu du père), le caniche et le boxer mutants, pathétiques, etc.
Par contre, je ne me souvenais plus tant que ça du découpage type BD, au delà des splits screens, toutes les fusions d'images, les différents jeux de montage, qui ont du être galère à faire mais qui, bon sang, font pitié (maintenant?) et qui donne un côté cheap à l'ensemble.
Et on aura beau me dire : oui, mais Ang Lee, ce à quoi il s'est attaché, c'est la relation au père, etc... ben justement, le cabotinage de Nick Nolte réduit cet aspect à néant.
Reste Connelly et son charisme habituel (plastique ET jeu) et la baston du désert, vraiment sympa.
Peu... trop peu...