Une perle cachée!
La première chose qui m'a marquée, alors même que je m'étais retrouvée devant ce film au hasard de mes déambulations youtubiennes, c'est la voix. Celle, jeune et feutrée, d'Andrew Garfield, même pas...
Par
le 13 avr. 2014
9 j'aime
I'm Here, Spike Jonze
Un amour sans condition d'utilisation
3 ans avant le film Her, Spike Jonze c'était déjà attardé au domaine de la science-fiction et du film d'anticipation. Il est très rare que l'Intelligence Artificielle soit vu de façon aussi joyeuse et optimiste. En plus sur des thèmes qui orbites autour de l'amour, le conformisme, la solitude et de la discrimination. Tous ses sujets, Sheldon, un robot conditionné va en être témoin et va, peu à peu, s'ouvrir à la vie…
Attardons nous un instant sur la façon dont ces robots transpirent d'humanité et ceux grâce à la fenêtre de l'âme, je parle bien entendu du regard. Tout passe par là et ça fonctionne du tonnerre. Donner un aspect lyrique à de la science-fiction, il le fait à la perfection et pourtant le défi n'est pas évident.
La photographie à un aspect crépusculaire donnant une certaine atmosphère douce amère reflétant cet amour proche du dramatique.
Enfin la façon dont est dépeint l'amour est très belle, triste mais belle, nous donnant une histoire d'amour inconditionnelle dont beaucoup devrait prendre exemple.
Enfin bref un court-métrage très beau, divertissant et passionnant
Créée
le 16 févr. 2023
Critique lue 11 fois
D'autres avis sur I'm Here
La première chose qui m'a marquée, alors même que je m'étais retrouvée devant ce film au hasard de mes déambulations youtubiennes, c'est la voix. Celle, jeune et feutrée, d'Andrew Garfield, même pas...
Par
le 13 avr. 2014
9 j'aime
Avant même Her, Spike Jonze utilisait la science fiction pour renforcer le côté humain de l’histoire qu’il voulait raconter. Le format est différent, le thème le même: l’amour. Avec moins de temps,...
Par
le 3 avr. 2014
6 j'aime
1
Et pourtant ! Il ne s'agit ni plus ni moins que de la manière dont Spike Jonze s'est acquitté de la commande qui lui avait été faite d'illustrer le slogan de la marque suédoise ("in an absolut world"...
Par
le 12 mai 2013
6 j'aime
Du même critique
A dog Day afternoon, Sidney LumetEnfin je regarde un nouveau film de Lumet après le chef-d'œuvre qu'est 12 hommes en colère. Il est impressionnant de constater qu'à partir de rien, le metteur en...
Par
le 5 avr. 2023
3 j'aime
28 jour plus tard de Danny Boyle À une époque où les films de zombies sont légions et commencent un peu tous à ce ressembler, pas mal de film on réussit à sortir du lot : De Shawn of the dead,...
Par
le 8 juin 2022
3 j'aime
La souris, premier long-métrage du grand Gore Verbinski, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il sait divertir. Son sens incroyable du rythme qui restera dans ses futurs films, ses situations...
Par
le 20 juil. 2023
3 j'aime