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Pompier, bon oeil
Il est probable que ceux qui me connaissent un tout petit peu mettent la sévérité de la note que j'ai attribué à I origins sur le compte d'un athéisme virulent, m'ayant empêché de discerner ses...
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Critique de I Origins - Journal de bord Deauville 2014
Ce que l'on retient avant tout, c'est que le film a bénéficié de la nouvelle technologie audio Dolby Atmos, permettant de travailler sur 64 sorties sonores. La promesse d'une prouesse technologique et scientifique au profit de l'art. Tout un compromis incarné par le réalisateur Mike Cahill, amoureux de la science, jusqu'à en nourrir le contenu de ses scénarios.
Dans le cas de I origins, la justification scientifique est prétexte à une histoire d'amour mystique, brassant les thèmes de croyance et de réincarnation. Mais aux vus des lenteurs narratives, et de la mise en scène qui favorise la beauté esthétique gratuite, quitte à exploiter de discrets effets spéciaux, il est légitime de se demander si le film n'est pas plus proche de l'expérience cinématographique que de la thèse scientifico-métaphysique
Dans le cas de I origins, la justification scientifique est prétexte à une histoire d'amour mystique, brassant les thèmes de croyance et de réincarnation. Mais aux vus des lenteurs narratives, et de la mise en scène qui favorise la beauté esthétique gratuite, quitte à exploiter de discrets effets spéciaux, il est légitime de se demander si le film n'est pas plus proche de l'expérience cinématographique que de la thèse scientifico-métaphysique
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le 16 sept. 2014
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