Même si on retrouve toujours son approche esrthétique et poétique du cinéma,de ce point de vue là je dois dire que je suis plutôt déçu."I wish I knew" poursuit ce travail documentaire sur l'histoire de la Chine initié véritablement par "24 city".
A travers des témoignages forts,il dresse un portrait de Shangaï sans cette touche de mélancolie toute singulière qu'il porte sur le réèl.
Pourtant,avec du recul et au delà de tout le champ lexilcal historique abstrait,je trouve son travail impressionnant.La restitution d'une parole enfouie permet un travail de mémoire avec tout ce que cela peut comporter de zones d'ombres.Un travail de réconciliation sensible et humain qui fait la grande force du film.
Plus que de la mélancolie à l'égard de l'évolution du monde,le cinéaste se situe du point de vue de la transmission,comprendre son passé pour mieux affronter la réalité.
"Alors que j'étais assis face aux personnages de mon film et que je les entendais raconter si calmement un passé tellement effrayant,j'ai réalisé que ma caméra capturait ce "rêve de liberté" qui brillait encore dans le fond de leurs yeux.Et cela m'a ému jusqu'aux larmes" Jia Zhang-Ke
Vive le cinéma
Peace
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