Ce premier film pour Samuel Goldwyn me fut un total supplice et on voit que le style maison impose un virement brutal pour le cinéaste. La musique dégouline sans interruption la première demi-heure et la suite est en encore pire avec des personnages écrits n'importe comment qui ne parviennent jamais à être crédibles ou même compréhensifs. Ce n'est plus des gros sabots à ne niveau mais les bottes de sept lieues. C'est atrocement artificiel et sans la moindre explication psychologique ni logique (la sale petite peste Mary, la tante hypocrite). Et ce qui n'arrange rien est la dimension répétitive des séquences mettant en scène Bonita Granville.
Lénifiant du début jusqu'à la fin. J'aurais été chez moi, je ne sais même si j'aurai pu arriver jusqu'à la fin du film.
These three justifie la création d'un Compte Pénibilité pour les cinéphiles.

anthonyplu
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le 25 mai 2018

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