Nanar ou navet ? Peu importe, c'est mauvais et indéfendable. Toute la partie tournée à l'Ile Maurice n'est qu'un tissu éhonté de placements de produits sans doute sponsorisé par l'office du tourisme mauritien, cela ajouté aux guignoleries insupportables d'Henri Guybet en font un produit à la limite du supportable. La partie parisienne est mieux en raison de trois éléments, la présence de Catherine Lachens, remarquable actrice à côté de laquelle le pauvre Lefebvre achève de se ridiculiser, le numéro de Guiomar qui s'amuse comme un fou, et le très court passage érotique avec Dominique Vallée